Etude des textes utilisés par les trinitaires.
Quelle est la nature de Jésus ? JEAN 10 :31.
31 Alors les Juifs prirent de
nouveau des pierres pour le lapider.
32 Jésus leur dit: Je vous ai fait voir plusieurs
bonnes œuvres venant de mon Père: pour laquelle me lapidez-vous?
33 Les Juifs lui répondirent: Ce n'est point pour une bonne œuvre que nous te
lapidons, mais pour un blasphème, et parce que toi, qui es un homme, tu te fais
Dieu.
34 Jésus leur répondit: N'est-il pas écrit dans votre loi: J'ai dit: Vous êtes
des dieux? (phrase de liaison)
35 Si elle a appelé dieux ceux à qui la parole de Dieu a été adressée, et si
l'Ecriture ne peut être anéantie,
36 celui que le Père a sanctifié et envoyé dans le monde, vous lui dites: Tu
blasphèmes! Et cela parce que j'ai dit : Je suis le Fils de Dieu.
Remarquer bien qu’ici on parle de plusieurs dieux, il n’est donc pas possible
de prétendre que Jésus est le seul vrais dieu selon ce contexte.
La clef de voute de la compréhension de ce texte est qu'il doit se lire en parallèle avec le psaume 82 auquel ce texte fait référence :
Louis Segond Bible
1 Psaume d'Asaph. Dieu se tient dans l'assemblée de Dieu;
Il juge au milieu des dieux (ici avec un petit « d »).
2 Jusques à quand jugerez-vous avec iniquité, Et aurez-vous égard à la personne
des méchants? Pause.
3 Rendez justice au faible et à l'orphelin, Faites droit au malheureux et au
pauvre,
4 Sauvez le misérable et l'indigent, Délivrez-les de la main des méchants.
5 Ils n'ont ni savoir ni intelligence, Ils marchent dans les ténèbres;
Tous les fondements de la terre sont ébranlés.
6 J'avais dit: Vous êtes des dieux, Vous êtes tous des fils du Très-Haut.
(Phrase de liaison)
7 Cependant vous mourrez comme des hommes, Vous tomberez comme un prince
quelconque.
8 Lève-toi, ô Dieu, juge la terre! Car toutes les
nations t'appartiennent.
Dans ce texte nous constatons qu’il y a les choses suivantes :
(1) Que les fils de Dieu sont des dieux.
(2) Qu’il y a plusieurs dieux et plusieurs fils de Dieu.
(3) Que dans les deux textes il y a la phrase : J'avais dit: Vous êtes des
dieux.
(4) Que la divinité en question ne s’applique pas qu’à Jésus mais à tous les
fils de Dieu.
(5) Qu'à la place du mot Dieu dans le texte source en hébreu il y a le mot אֱלֹהִים
(Elohim) pour les "fils de Dieu" et pas le mot hébreu
"juges".
D'après l'étude de ces deux textes, nous pouvons dire avec certitude que Jésus
n'est pas le Dieu tout-puissant mais qu'il se présente comme étant le fils de
Dieu de lui-même, le texte met en évidence plusieurs personnages ayant la
nature divine mais qu'il y a au final qu'un seul et même Dieu, qui sera désigné
comme le tout-puissant ou le seul vrai Dieu dans cette analyse de ce fait. Il
est évident que Jésus dans le texte fait référence au psaume 82 car c'est celui
qui convient le mieux au niveau littéral à la réponse de Jésus à cause du
verset 6, Jésus se désignant donc de lui-même comme étant non pas le Dieu
unique mais un des fils de Dieu de cette assemblée car ici dans ce texte, il y
en a plusieurs réunis dans une sorte d'assemblée de dieux, et que ces fils sont
de natures divines, je le précise, non pas humaine mais spirituelle car tout
cela en finalité est vérifié de manière certaine par le texte suivant :
Cependant ils mourront comme des hommes, ici les mots " comme des hommes
" (psaume 82 : 7) indique bien qu'ils ne soient pas de nature humaine au
départ. Au final je pense qu’il y a l’emploi répétitif du terme Elohim dans ce
texte qui désigne ces êtres comme étant des puissants, des êtres d’une
catégorie bien à part.
Noter bien que Elohim pourrait également désigner des anges ou des êtres
surnaturels mais en tout cas on ne parle pas du tout puissant puisque on ne
parle que des fils de Dieu.
Elohim ou soit אֱלֹהִים
dans le texte source de ce psaume, désigne aussi des anges dans la Bibles,
c'est à dire dans Genèse 6.1-4 et Job 1:6 : Or, les fils de Dieu vinrent un
jour se présenter devant l'Eternel, et Satan vint aussi au milieu d'eux. C'est
à dire qu'ils ne sont pas "Le" Dieu mais appartenant à la catégorie
"Elohim".
Le problème de notre langage, c'est que le mot Dieu désigne seulement le
tout-puissant ou le seul vrai Dieu, terme désignant Yahweh lui-même et qu'à la
lecture des mauvaises traductions de la Bible en français, le lecteur se perd
car il lit Dieu au lieu du mot Elohim qui est utilisé aussi pour décrire les
fils de Dieu. Il ne peut pas faire la différence entre le tout-puissant et ceux
qui sont de nature divine ou spéciale, unique en leur genre et celui en qui on
doit placer notre foi et lui seul, car il est normal que Dieu soit assimilé
dans notre religion tout seul, voire adoré comme étant le Dieu unique.
Il faut et cela est primordial que la religion chrétienne bannisse
l'assimilation du nom Jésus comme désignant le Dieu unique car cela n'est pas
formulé de manière textuelle dans nos Bibles. Pour réaliser cet objectif, il
est primordial que les croyants soient évangélisés de manière correcte, et pour
cela ils doivent l’être par des pasteurs qui sont aussi des chercheurs de la
vérité fondamentale avant tout comme nous le faisons, la différence devant être
faite entre le fils de Dieu qui a la nature divine seule mais qui ne se désigne
pas de lui-même comme étant votre Dieu et le seul vrai Dieu. Jésus pouvant être
appelé soit le LOGOS ou Jésus-Christ et Yahweh le Dieu unique par respect des
textes en priorité et que dans les passages de la Bible pour une compréhension
totale, que les versets désignant la nature divine de Jésus soient écrits comme
il l'est dans certaines traductions avec un petit " d " par déférence
envers Dieu. C'est en tout cas ce que nous révèle le psaume 82 sur les fils de
Dieu car il y en a même plusieurs, ce sont d'ailleurs les conventions de
désigner la nature divine avec un petit " d " que nous avons adopté
pour le livre que vous lisez actuellement, car le mot Dieu en français est très
limitatif et parfois problématique pour le croyant. Le mot élohim
en hébreu dans ce texte du psaume 82 désignerait à la fois le Dieu unique et
les dieux ou les EL, il veut aussi dire " les dieux " car il n'y a
pas d'autre manière de le formuler en hébreu, dans une assemblée de fils de
Dieu qui en tout cas ne sont pas de nature humaine, les dieux qui sont la
traduction française du mot " EL " au pluriel et qui veut dire "
les puissants ". C'est en tout cas ce que voudrait dire le mot redondant élohim en Hébreu dans le texte de ce psaume dès le départ.
Mais méfiance en ce qui concerne les translittérations, en aucun cas le mot élohim en Hébreu ne voulait dire à un moment de son
histoire " les juges " ou " les dieux païens ", c'est une
falsification que je dénonce ici et qui serait faite pour soutenir un dogme,
vous mentir, laquelle ne correspond pas à ce qui est écrit dans le Nouveau
Testament lui-même et a la réponse de Jésus comme nous l’avons vu. En
conclusion, après analyse de ces deux versets seuls, déjà nous remarquons que
l'exégèse qui malheureusement était motivée par une confession particulière et
qui a été faite dans les temps anciens et dès le début de l'histoire du
christianisme, outrepasse les textes et va trop loin en inventant ce qui
n'existe pas dans nos Bibles. Le pire c'est que nos croyances ont sauté du
dogme trinitaire à Jésus seul dieu sans le père parfois, donc il y a aussi
effacement du concept trinitaire chez les croyants non affermis.
Pour éviter toute dérive, dans ce texte et dans la Bible (ancien et nouveau testament) on ne fait pas référence au mot Dieu en français car il n'existe pas en hébreu, mais au mot Elohim, c'est à dire אֱלֹהִים (Elohim).
Le nom propre Elohim désigne soit :
1.
Hommes puissants, de haut rang, héros
2. Les fils de Dieu
3. Des anges
4. Dieux, faux dieux (démons, imaginations)
5. Dieu, le seul vrai Dieu, l'éternel c'est à dire le Père, le Dieu de Jésus
Preuve biblique à l'utilisation de "nature divine" à la place du mot Dieu qui désigne erronément celui à qui on rend un culte en français
La preuve concrète dans Philippiens 2:6
J'ai utilisé deux traductions
ensembles cette fois-ci pour prouver que les trinitaires ont tout faux.
Bible du Semeur : " Jésus-Christ. Lui qui, dès l'origine, était de
condition divine, ne chercha pas à profiter de l'égalité avec Dieu."
Bible de Jérusalem : " le Christ Jésus : Lui, de condition divine, ne
retient pas jalousement le rang qui l'égalait à Dieu."
Un
autre preuve à l’utilisation de nature divine se retrouve dans Colossiens 2:9
“Car en lui habite corporellement
toute la plénitude de la nature divine. “ …
En effet, la définition du mot
divinité selon de dictionnaire est essence ou nature divine (voir étude du
prologue sur la nature divine du LOGOS), c’est-à-dire qu’il est d’essence
divine comme je l’ai déjà expliqué. A ne pas confondre avec le mot Dieu dans
notre langue car ce texte ne voulait pas indiquer qu’il était Dieu dans le sens
de désigner celui à qui on doit rendre un culte mais que son essence, sa nature
était divine comme notre humanité par rapport à nos parents.
Pourquoi avoir choisi le Dieu des juifs pour l’assimiler au père, soit Yahweh ?
R : cela se vérifie textuellement dans JEAN 8 :54 ou Jésus répond justement aux
Juifs :
54 C'est mon Père qui me glorifie, lui que vous dites être votre Dieu,
Dans ce texte nous constatons qu’il y a les choses suivantes :
(1) Que Dieu c'est encore le Père seul.
(2) Que le Dieu des juifs c'est le Père.
Est-ce que Jésus est le seul vrai Dieu, encore une vérification de plus, un
texte Biblique qui prouve le contraire car la source des évangiles, la parole
même de Jésus le rejette, voir à Marc 10 :18 et concordance en Luc 18:19 de la
même parole de Jésus. Jésus lui répondit: Pourquoi
m'appelles-tu bon? R : Il n'y a de bon que Dieu seul.
Pour aller plus loin
Pourquoi la Bible parle de la divinité de Jésus
ou que Jésus soit Dieu ? La pluralité des fils de Dieu dans le psaume 82,
s'explique par le fait qu'au début dans le panthéon des Dieux en Ougarit (
ancienne cité du Proche-Orient, située dans l'actuelle Ras Shamra initialement
nommée Ras ech-Chamra, à onze kilomètres au nord de Lattaquié, en Syrie),
l’archéologie nous a révélé qu’au départ, qu’il y avait plusieurs Dieux dont
Yahweh en faisait partie, c’est-à-dire : Le Dieu EL qui est le père des Dieux,
Yahweh qui était le fils du Dieu EL, la Déesse Ashéra, parèdre du Grand Dieu
El, et Ba'Al qui signifie seigneur, par exemple. Nous savons maintenant qu’au
départ, Elyon qui signifie « très haut » en français et El qui signifie « Dieu
» ont fusionnés donnant El Elyon pour désigner le « Dieu très haut ». Par la
suite, le judaïsme a intégré les autres Dieux qui étaient vénérés en Canaan
dans Yahweh, lequel a repris toutes les fonctions de tous les autres, pour
finir, dans la religion hébraïque et comme Dieu national. Dans le nouveau
testament, prolongement parfait de l'ancien, l'histoire des fils de Dieu
continue avec Jésus dont la Bible dit également, comme dans le psaume 82, qu’il
est le fils du très haut, c’est à dire dans Luc 1:32 dans la Bible. Le très
haut est le Dieu Elyon et Jésus est le fils de Elyon (qui est Yahweh dans la
religion Judaïque au moment des faits). Dans Jean 10:32, Jésus se réfère au
psaume 82 pour indiquer aux Juifs qu’il est le fils de Elyon comme les fils de
Dieu de ce psaume et comme ces fils de Dieu de ce psaume ont la nature divine,
lui qui est le fils de Dieu, l'a aussi puisqu’il est fils de Dieu. Il n'y a pas
de rupture religieuse mais une continuité dans la Bible car la Bible n’a pas
inventé une autre religion au moment de la venue de Jésus, elle parle toujours
du même précepte, c’est-à-dire : des fils de EL Elyon qui existèrent depuis
l’antiquité. Pourquoi la Bible parle de la divinité de Jésus ? Car ces fils du
Dieu El Elyon sont des Dieux dans le psaume 82, en effet, le Dieux EL dans le
panthéon des Dieux en Ougarit est le Père des autres Dieux, Jésus se référant
au psaume 82 pour l’indiquer, néanmoins, c’est un Dieu inférieur ayant la
double nature humaine et divine et c’est une créature du créateur alors que
Dieu n’a jamais été créé de quelque chose et Dieu est pur esprit. Pour moi en
finalité et déduction faite, le nom du Père de notre Seigneur est Elyon et
c’est le nom de Dieu en finalité, le Dieu El étant le Père. Le père de Jésus
avec certitude est en tout cas le Dieu des Juifs : Jean 8:54, Jésus répondit:
Si je me glorifie moi-même, ma gloire n'est rien. C'est mon père qui me
glorifie, lui que vous dites être votre Dieu, ...
Références Bibliques :
Luc 1:32 Il sera grand et sera appelé Fils du
Très-Haut (Elyon) Jean 8:54 Jésus répondit: Si je me glorifie moi-même, ma
gloire n'est rien. C'est mon Père qui me glorifie, lui que vous dites être
votre Dieu (Yahweh) Psaume 82 : J'avais dit: Vous êtes des dieux, Vous êtes
tous des fils du Très Haut. (Elyon) Jean 10:32-36 : Jésus leur répondit:
N'est-il pas écrit dans votre loi: J'ai dit: Vous êtes des dieux? 35 Si elle a
appelé dieux ceux à qui la parole de Dieu a été adressée, et si l'Ecriture ne
peut être anéantie, 36 celui que le Père a sanctifié et envoyé dans le monde,
vous lui dites: Tu blasphèmes! Et cela parce que j'ai dit: Je suis le Fils de
Dieu. (Fils de Dieu = Elohim) En effet, la Bible s'appuie sur la sémantique
liée à son histoire du début jusqu'à la fin. Notre traduction et nos croyances
la dénature. L'origine de la notion et du titre Fils de Dieu est à chercher
dans la mythologie antique, l'expression « fils de Dieu » désignait les dieux
fils d'une divinité plus importante : en Phénicie, Baal et Mot étaient fils de
El, le Dieu suprême ; en Babylonie, Sin était fils d'Anu ; ou bien les
demi-dieux (Gilgamesh) ou encore les rois et certains hommes aux vertus
surhumaines (sources : Encyclopédie Universalis).
Citations selon l'Encyclopædia Britannica :
« Ni le mot Trinité, ni la doctrine explicite de la Trinité n'apparaissent dans
le Nouveau Testament ; Jésus et ses disciples n'avaient pas l'intention de
contredire le Chema de l'Ancien Testament, savoir : «
écoute, Israël! l'éternel, ton Dieu, est Un. » Les premiers chrétiens,
cependant, ont dû faire face aux conséquences de la venue de Jésus Christ et de
la présence présumée de la puissance de Dieu parmi eux (le Saint-Esprit, qui
est venu à la Pentecôte). Le Père, le Fils et le Saint-Esprit ont été associés
dans des passages du Nouveau Testament : « Allez donc et faites des disciples
de toutes les nations, les baptisant au nom du Père et du Fils et du
Saint-Esprit » (Matthieu 28:19) et dans la bénédiction
apostolique: « La grâce du Seigneur Jésus Christ, l'amour de Dieu et la
communion du Saint-Esprit soient avec vous tous » (II Cor. 13.14) Ainsi, le
Nouveau Testament a établi la base pour la doctrine de la Trinité. »
Voici justement pour vous la définition de la Trinité, la base de votre foi,
adhérer vous personnellement encore à ce texte ?
Résumé de la foi sur la Sainte Trinité
Il y a en Dieu trois personnes, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, qui sont
révélées par l’incarnation du Fils et par l’envoi du Saint-Esprit. Elles
possèdent l’unique nature divine et c’est la divinité entière et indivisible
qui est en chacune des personnes, dans le Père, dans le Fils et dans l’Esprit.
Entre les trois personnes divines il existe une distinction réelle, qui se
fonde sur les relations mutuelles que ces personnes entretiennent entre elles.
Le Père tient de lui-même la nature divine. Le Fils procède du Père par
génération éternelle. Le Saint-Esprit procède du Père et du Fils, ou encore du
Père par le Fils, comme d’un seul et même principe, en tant qu’ils sont un seul
Dieu. La plupart des autres confessions, en effet, dérivent (mauvais jeu de mots
au sujet de la dérive) du catholicisme et la base du christianisme est de
source judaïque antique. Mais dans la Bible qui est la base de la foi il n'y a
pas un seul Dieu en trois personnes car il n'y a qu'un seul Dieu et c'est le
Père.
Le second verset phare est le suivant JEAN 8 :54 :
54 C'est mon Père qui me
glorifie, lui que vous dites être votre Dieu (le Dieu des Juifs est le Père
donc),
55 et que vous ne connaissez pas. Pour moi, je le connais ; et, si je disais
que je ne le connais pas, je serais semblable à vous, un menteur. Mais je le
connais, et je garde sa parole.
56 Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu'il verrait mon jour: il
l'a vu, et il s'est réjoui.
57 Les Juifs lui dirent: Tu n'as pas encore cinquante ans, et tu as vu Abraham!
58 Jésus leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu'Abraham fût,
je suis.
59 Là-dessus, ils prirent des pierres pour les jeter contre lui; mais Jésus se
cacha, et il sortit du temple.
Le verset tiré hors de son contexte initial par les trinitaires est le suivant
: 58 Jésus leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu'Abraham
fût, je suis. Le " JE SUIS " est utilisé en général de manière
malsaine pour faire une sorte de spaghetti avec les versets et pour justifier
le dogme de la Trinité en faisant le parallélisme avec l'ancien testament et
l'épisode du buisson ardent ou Dieu révèle le Tétragramme ou encore appelé
Théophanie, surtout nous dirons de manière non affermie dans la compréhension
de la Bible en entier cette fois-ci, ce genre de croyant fait passer le "
JE SUIS " pour le nom lui-même de Dieu qui est Yahweh voire EL ELYON pour
rappel et tente de faire le parallélisme avec le Tétragramme. La Bible va plus
loin encore en disant que ce nom soit glorifié sur toute la terre, on en est
loin du compte non ? D’autres exemples : Que tout ce qui a un souffle de vie
adore Dieu. Dans notre prière aussi : Que ton nom soit sanctifié (mot sanctifié
désignant le Père avant tout). Mais est-ce que le " Je SUIS " est
vraiment assimilable à Yahweh, ceux qui connaissent l'Hébreu pourraient
facilement répondre mais ce n'est pas le cas de la majorité des croyants
francophones. De mon côté, je dirais très certainement que non puisque la
majorité des croyants sont des croyants non avertis, et qu'aussi cette erreur
de lecture est provoquée comme nous l'avions dit, par le fait que le nom de
Dieu est traduit aussi, de ce fait, on ne peut plus faire la différence entre
un verbe et un nom propre, et effectivement : Dans le texte grec il y a un
verbe et pas le tétragramme, c'est-à-dire le nom propre de Dieu, un nom ne se
traduisant pas de toute façon.
Comme on le constate de prime abord ce parallélisme scabreux et malsain ne peut
pas s'appliquer ici car dans le texte grec à la source il n'y avait que ego éïmi ou soit "je
suis", c'est à dire le verbe être au présent et que du côté de l'épisode
de la théophanie, il s'agit de quelque chose de totalement différent puisqu'il
s'agit d'un nom propre qui est en plus traduit de manière erronée encore une
fois de plus dans nos Bibles car on ne peut traduire les noms propres dans un
texte. En conclusion, il n'y avait aucun parallélisme à faire sauf pour tromper
les gens.
D'autre part, d'une manière générale, nous avons constaté que l'évangéliste
Jean emploie le verbe " éïmi " qui se
traduit par le verbe être en français pour désigner des états permanents et
éternels tandis qu'il emploie le verbe " ginomai
" pour désigner des états temporaires, transitoires qui n'ont pas toujours
existé, par exemple en Jean 1:1 et en Jean 1:2 c'est " éïmi
" qui y est employé et dans Jean 1:3 c'est " ginomai
" qui y est utilisé. De ce fait et en conclusion, ce verset indique
l'existence préhumaine de Jésus et son commencement en dehors de nos repères
temporels terrestres et de plus, qu'il existe de toutes éternités, qu’il était
de toute éternité j'insiste, ce qui indique qu'il s'agirait plutôt d'indiquer
que Jésus était, comme nous l'avons vu précédemment, préexistant ou qu'il avait
une existence d'avant toutes autres créations de Dieu et qu'il existerait
toujours. Ce verset ne faisait pas de lui l'égal de Dieu, pourquoi ?
Le tétragramme ne figure pas dans ce texte (désolé pour vous) car il n’y a
qu’un verbe et c’est le verbe être au présent, ce tétragramme est souvent
matérialisé dans celui-ci en GREC par ΙΑΩ, ainsi YAHWEH et nous
le répétons encore de manière insistante était écrit dans le texte GREC du
Nouveau Testament de manière à rendre le tétragramme par ΙΑΩ et
cette forme signifie seulement que l’on parle de YAHWEH le Dieu unique. Ce qui
n'est pas le cas dans ce texte.
D'autres traductions plus proches du sens visé par ce verset existent :
Jésus
leur dit: "En vérité, en vérité, je vous le
dis, avant qu'Abraham existât, Je Suis." (Jean 8:58)
Beaucoup voit ici une
affirmation par Jésus de sa divinité et c'est malheureusement une erreur
courante à ne pas faire.
Dans ce verset, il n'y a pas
dans le texte grec à la source le tétragramme ou soit le nom propre de Dieu mal
traduit en "Je SUIS" mais c'est le verbe être au présent en grec,
c'est à dire un véritable "JE SUIS".
Le verbe être en grec est un
verbe défectif, et dans le cas de "être" le présent peut être utilisé
pour signifier l'éternité.
En effet, en linguistique, un
verbe est dit défectif lorsque sa conjugaison est incomplète : certains temps,
modes ou personnes sont inusités et c'est justement le cas dans ce texte.
Seul le contexte permet de
dire à quel temps réel correspond ce présent grec.
De plus, en grec ou en hébreu,
on peut utiliser le présent pour parler du passé si l'action continue même si
apparemment cela porte à confusion. C'est le cas ici mais par contre, grosse
différence en français, la concordance des temps fait que si on se projette
dans le passé on emploie un temps du passé même si l'action continue.
En français on va dire
"j'ai toujours été blond" alors que le grec ou l'hébreu mettrait un
présent puisque l'action continue dans le temps. Autre exemple on dira
"j'habitais ici avant que l'usine se monte" et pas "j'habite ici
avant que l'usine se monte".
En bref, en français comme en
anglais ce "je suis" nous frappe alors que dans la langue originale
il était tout à fait normal.
Voici comment certaines
versions rendent ce verset
1898: “Avant qu’Abraham fût, j’étais.” La Sainte Bible, version d’Ostervald.
1935: “J’existais avant qu’Abraham fût né!” The Bible—An American Translation, de J.
Smith et E. Goodspeed.
1965: “Avant qu’Abraham fût né, j’étais déjà celui que je suis.” Das Neue Testament, de Jörg Zink.
1981: “J’étais vivant avant qu’Abraham fût né!” The Simple English
Bible.
1995: “Avant qu’Abraham soit venu à l’existence, j’étais.” Les Saintes
Écritures TMN
Le véritable sens de ce texte
en grec est que le fils “premier-né” de Dieu (voir PROTOTOKOS STRONG 4416 sur
lueur.org), Jésus, qui a été créé ou engendré par son Père, existait bien avant
la naissance d’Abraham. (Voir Colossiens 1:15;
Proverbes 8:22, 23, 30 ou Apocalypse 3:14)
C'est tout simplement le
contexte cette-fois ci qui atteste que c’est ainsi qu’il faut comprendre ce
passage. Les Juifs veulent lapider Jésus parce qu’il affirme avoir “vu Abraham”
alors que, d’après eux, il n’a pas encore 50 ans (verset 57).
Il est donc naturel que Jésus
les renseigne sur son âge, c'est la réponse à la question dans Jean 8:57. "Les Juifs lui dirent: Tu n'as pas encore
cinquante ans, et tu as vu Abraham!". R: Aussi
leur dit-il: “Avant qu’Abraham soit venu à l’existence, j’étais.”
Exode 3 - Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni
En ce qui concerne l’épisode
du buisson ardent ou encore appelé théophanie ou les chrétiens croient que le
Dieu de l'ancien testament qui par ailleurs, est une copie de la Bible
hébraïque, s'appelle "je suis",
encore une erreur de plus, il suffisait de se renseigner juste un peu pour ne
pas tomber dans l’hébétude. Les Juifs croient en « Adonay »
ou « Yahweh » mais aussi, pour rappeler au lecteur que les noms propres
dans le texte ne se traduisent pas. Sinon, comment identifier de qui on
parle et surtout, parce qu’un nom est une référence bien particulière à une
personne de la Sainte Trinité dans la Bible, donc, un nom permet de ne pas
faire d’amalgame dans la lecture. Je vous rappelle la bonne traduction qui est
adoptée pour ce livre, c'est la version Chouraqui qui préserve en plus,
l'unicité du texte source.
Donc refuser les traductions
avec un "Je suis" car elles essaient de vous induire en erreur au
sujet de vos croyances et tenter de faire passer Jésus pour Dieu en le faisant
correspondre avec une très grande approximation à JEAN 8 :58.
14. Elohîms dit à Moshè : "Èhiè ashèr èhiè ! - Je serai qui je
serai" Il dit : "Ainsi diras-tu aux Benéi
Israël : 'Je serai, Èhiè, m'a envoyé vers
vous'".
15. Elohîms dit encore à Moshè
: "Tu diras ainsi aux Benéi Israël : 'IHVH-Adonaï,
l'Elohîms de vos pères, l'Elohîms
d'Abrahâm, l'Elohîms d'Is'hac et l'Elohîms de Ia'acob, m'a envoyé vers vous'. Voilà mon nom en pérennité,
voilà ma mémoration de cycle en cycle.
En conclusion de ces
démonstrations et preuves, nous pouvons maintenant affirmer avec certitude que
Jésus est bien le fils de Dieu, qu'il a la nature divine mais qu'il n'est pas
le tout puissant.
Traduit en général
de cette façon : Dieu dit à Moïse: Je suis celui qui suis. Et il ajouta :
C'est ainsi que tu répondras aux enfants d'Israël:
Celui qui s'appelle "je suis"
m'a envoyé vers vous.
.
καὶ εἶπεν ὁ θεὸς
πρὸς Μωυσῆν
ἐγώ εἰμι ὁ
ὤν καὶ
εἶπεν οὕτως
ἐρεῗς τοῗς
υἱοῗς Ισραηλ
ὁ ὢν
ἀπέσταλκέν
με πρὸς
ὑμᾶς.
ἐγώ |
εἰμι |
ὁ |
ὤν |
Ego |
eimi |
ho |
own |
Je |
Suis |
(celui) qui |
est |
La bonne traduction n'est pas un « je suis » car il n'y a pas ἐγώ εἰμι
(Ego eimi) dans le texte mais ὁ ὤν (voir en italique).
ho
on kai ho en kai ho erchomenos (voir Apocalypse 1 :8)
Je suis l’alpha et l’oméga, dit le
Seigneur Dieu, celui qui est (ho on kai ho en kai ho erchomenos), qui était (ho
on kai ho en kai ho erchomenos), et qui vient (ho on kai
ho en kai ho erchomenos) , le Tout-Puissant.
La phrase après les mots " dit le
Seigneur Dieu" est la suivante :
ὁ |
ὢν |
καὶ |
ὁ |
ἦν |
καὶ |
ὁ |
ἐρχόμενος |
ho |
on |
kai |
ho |
en |
kai |
ho |
erchomenos |
Voir Strong 3801 sur lueur.org
Qui est traduite de cette façon : qui est
et qui était et qui vient.
1. ho own
= celui qui est
2. ho en = celui qui était
3. ho erchomenos
= celui qui vient
καὶ εἶπεν ὁ θεὸς
πρὸς Μωυσῆν
ἐγώ εἰμι ὁ ὤν (Je suis celui qui est) καὶ
εἶπεν οὕτως
ἐρεῗς τοῗς
υἱοῗς Ισραηλ
ὁ ὢν (celui
qui est) ἀπέσταλκέν
με πρὸς
ὑμᾶς.
14 Dieu dit à Moïse: Je suis celui qui est (ἐγώ εἰμι ὁ ὤν).
Et il ajouta: C'est ainsi que tu répondras aux enfants
d'Israël: Celui qui s'appelle "celui qui est"
(ὁ ὤν) m'a envoyé vers vous.
Le dernier mot du verset, c'est à dire
παντοκράτωρ,
veut dire "tout-puissant" et pas "Dominateur souverain" et
la phrase de ce fait désigne le Tout-puissant c'est à dire Dieu le Père.
De plus, dans ἐγώ
εἰμι ὁ ὤν
(Ego eimi ho own), ὤν n'est
pas le verbe suivre et ne devrait pas être traduit par Je suis celui qui suis,
mais c'est le verbe être au participe présent actif.
J’ai fait cette traduction pour vous
monter qu’il n’y avait pas de logique dans ce qui est écrit dans vos Bible car
déjà ce n’était pas le verbe suivre (je suis celui qui suis) et que le Ego Eimi (indicatif présent
actif) ne se retrouvait pas à la place du « Je suis » dans vos Bibles
puisque c’était le participe présent qui était formulé à la place mais que
deuxièmement, qu’en plus d’être faussée cette traduction ne devrait pas
traduire les noms propre mais les garder tel quel.
De plus, la conjugaison verbale hébraïque
a ceci de particulier c’est qu’il ne s’agit pas comme dans la plupart des
langues indo-européennes, d’une conjugaison exprimant par ses formes verbales
des temps mais plutôt des aspects verbaux.
Il existe en hébreu deux temps/aspects
principalement :
1.
Accompli ou Parfait
2.
Inaccompli ou Imparfait
Le nom de Dieu
« Ehyeh », est réellement un devenir
possible, un inaccompli, comme la forme verbale hébraïque semble l'indiquer. Un
inaccompli désigne une action qui n’est pas terminée car il n’y a pas de futur
en Hébreu et il devait être traduit par un imparfait, en effet, son nom
provient du latin imperfectus, signifiant : inachevé,
incomplet et c’est une erreur énorme de traduire « EHYEH ASHER EHYEH » par
« Je suis celui qui suis ».
Jésus,
s'étant approché, leur parla ainsi : Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et
sur la terre…
D’autre part, je vais tenter
de vous expliquer également ce verset : "Jésus, s'étant approché, leur
parla ainsi : Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre."
(Matthieu 28 : 18-19). Beaucoup voit ici encore une affirmation par Jésus de sa
divinité et c'est malheureusement une erreur courante à ne pas faire. Pour la
comprendre, il suffit de se demander quel est le pouvoir que nous avons nous en
tant que membre du corps du christ dans le nom de Jésus, c'est ainsi que l'on
répond plus précisément à la question de savoir quels sont ces pouvoirs qui ont
été donnés à Jésus après sa résurrection dans ce verset, c’est la meilleure
façon de le faire car elle ne tient compte que de la vérité textuelle.
Ce n'est pas tous les pouvoirs
de l’omnipotence de Dieu comme on se l’imagine parfois dans les dérives qui
voient Dieu en Jésus et comme si Jésus avait les mêmes pouvoirs que Dieu ou
être son remplaçant comme cela est parfois interprété, mais la Bible répond
justement à cette question dans Marc 16 : 17-18 :
17
Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils
chasseront les démons; ils parleront de nouvelles
langues; 18 ils saisiront des serpents; s'ils boivent quelque breuvage mortel,
il ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les
malades, seront guéris.
Voilà une manière plus rationnelle
de distinguer les pouvoirs dans le nom de Jésus qui ont été conféré par lui à
son église et ce verset les précises, en effet, agir « au nom de » quelqu'un
c'est le représenter et le remplacer, être à la place de lui et c'est donc
normal et logique d'être investit des mêmes pouvoirs et délégations que celui
que l'on représente et dans le cas justement où on se substitue à lui.
A propos de Matthieu 28:18 : Le pouvoir dont on parle ici
correspond à son titre qui est Seigneur (Jésus est notre Seigneur et il a un
pouvoir sur nous). Pouvoir vient du mot grec « Exousia » qui signifie :
autorité, pouvoir d'exercer l'autorité, vient du sens d’avoir reçu la capacité
d'exercer l'autorité et la capacité, de déléguer l'autorité. On parle pas ici
que Dieu aurait donné sa capacité à être Dieu dans ce texte et je doute que ce
soit possible un jour car il n'y a qu'un seul Dieu pour toujours.
Matthieu 28:18
Καὶ προσελθὼν ὁ
Ἰησοῦς ἐλάλησεν
αὐτοῖς, λέγων, Ἐδόθη
μοι πᾶσα
ξουσία ἐν οὐρανῷ
καὶ ἐπὶ γῆς.
Et Jésus, s'approchant, leur parla, disant : Tout pouvoir m'a été donné dans le
ciel et sur la terre.
Jésus règne et il a reçu cette autorité de Dieu, il règne sur les vrais
croyants, c'est à dire ceux qui sont de la nouvelle naissance ou ceux de
l'église de Dieu et sur le royaume des cieux et il en reçu l'autorité de le
faire. L'homme a décidé que Jésus est Dieu et Dieu a décidé que Jésus serait
Seigneur, ce n’est pas la même chose !
ἐξουσία (exousia) - Strong 1849
Définitions
1. pouvoir de choisir, liberté de faire ce qui plaît a. permission
2. pouvoir physique et mental a. la capacité ou la force dont chacun dispose,
qu'il a en possession et qu'il exerce
3. pouvoir d'autorité (influence) et de droit (privilège)
4. pouvoir ou règle ou gouvernement (le pouvoir de celui
qui veut et commande et auquel nous devons obéir et être soumis). a.
universellement i. autorité sur l'humanité b. spécifiquement i. pouvoir des
décisions judiciaires ii. autorité pour diriger les
affaires domestiques c. juridiction i. une chose soumise à l'autorité ou au
règlement ii. celui qui possède l'autorité 1. un chef d'état, un souverain, un
magistrat 2. le plus puissant parmi les êtres créés
supérieurs à l'homme, les puissances spirituelles d. le signe de l'autorité du
mari sur sa femme i. le voile utilisé par convenance et dont la femme se couvre
e. le signe de l'autorité royale, une couronne
Moi et le Père nous sommes "un" ?
Nous
avons eu l'idée cette fois-ci de faire l'inverse et d'aller rechercher des
preuves formelles et absolues que Jésus est Dieu lui-même, après concertation
avec des trinitaires, plusieurs versets mal interprétés seulement ont été mis
en avant par eux mais pas une seule preuve réellement tangible, comme le verset
ou Jésus dit " moi et le Père nous sommes un " en référence peut-être
au Chema Israël et au mot hébraïque " ehad " maïs sans aucune certitude à ce sujet, juste
qu'il a apparemment été compris au début du christianisme de cette façon en
tout cas. A la lecture seule des quelques versets suivants du même évangile dans
la Bible, déjà de prime abord, cette théorique nous semble erronée car comme
nous le démontrons textuellement, dans la suite de l'évangile de Jean pourtant
que ce terme hébraïque " ehad " s'applique
aussi à nous. De ce fait, pourquoi baser toute une doctrine sur un seul verset
et en oublier les autres, nous n'en comprenons pas l'objectif logique de base.
De plus, ce n'était qu'une parabole à interpréter au second degré dans le texte
lui-même. De ce fait, à l'heure actuelle, il n'est pas possible d'apporter la
preuve absolue que ce verset désigne Jésus et son Père comme étant une seule
personne ou un Dieu hypothétique par le mot " ehad
" comme cela est interprété par les trinitaires car si nous-nous référons
à un autre verset du même genre, cette unité s'applique aussi à nous les
humains en fait, donc tout cela ne nous paraît déjà pas tangible. Pour vous
démontrer que nous aussi nous sommes compris dans ce " un ", nous
avons simplement repris le verset de Jean 17:20-23 qui pourtant figurait, depuis
lors, dans nos Bibles :
20 Ce n'est pas pour eux seulement que je prie, mais encore pour ceux qui
croiront en moi par leur parole,
21 afin que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et comme je suis en
toi, afin qu'eux aussi soient un en nous, pour que le monde croie que tu m'as
envoyé.
22 Je leur ai donné la gloire que tu m'as donnée, afin qu'ils soient un comme
nous sommes un, -
23 moi en eux, et toi en moi, -afin qu'ils soient parfaitement un, et que le
monde connaisse que tu m'as envoyé et que tu les as aimés comme tu m'as aimé.
La suite de la compréhension de cette phrase est la suivante : Dans le but que
tous soient " un " comme lui et le Père le sont "un" et que
sa condition, sa position qu'il a avec le Père soit étendue à nous car le
royaume des cieux s'est étendu à nous les hommes. Cela est une simple
reformulation de la lecture littérale du verset qui dit : 22 Je leur ai donné
la gloire que tu m'as donnée, afin qu'ils soient un comme nous sommes un.
De ce fait, la terminologie si souvent employée pour justifier le dogme
trinitaire qui est : "Moi et le Père nous sommes UN" ne peut pas être
une formulation du dogme de la Sainte Trinité car cette condition s'applique
aussi à nous par l'effet de la gloire selon les textes de la Bible, la Trinité
est donc en conclusion une pure aberration qui n'a pas de preuve textuellement
tangible. Pour extrapoler un peu, Jésus disait si je me rappelle bien qu'il
était le temple, hors dans un Temple il y a le Saint des Saints où se trouve la
présence de Dieu, il est possible maintenant que nous puissions être
"UN" par la présence de Dieu en nous et par l'effet du Saint Esprit,
c’est à dire agir avec le discernement de Dieu lui-même comme une seule
personne, une nouvelle création avec une partie spirituelle et charnelle, ce
serait cela être "UN" mais cela reste un début d'explication sur ce
"UN", je pensais même qu'il signifiait d'agir comme une seule
personne à l'unissons avec Dieu tout en ayant le Saint-Esprit en nous.
Pour conclure, Dieu s'appelle en tout cas אֱלֹהִים
ou Elohim et pas Jésus (pour rappel).
Le
verset utilisé également par les Trinitaires est le suivant JEAN 20:28 :
En linguistique, on
appelle vocatif le cas grammatical exprimant l'interpellation directe ou
l'invocation d'une personne (ou d'une chose) au moyen d'un appellatif (nom
propre ou terme d'adresse). Le vocatif marque, en quelque sorte, l'apostrophe.
Dans les langues à
déclinaison, cet appellatif prend la marque du vocatif. Par exemple, les termes
d'adresse formels sont généralement utilisés dans des contextes professionnels
tels que les universités, le gouvernement, la médecine, la religion et l'armée.
Aux États-Unis, les exemples courants incluent :
Professeur : Utilisé pour
s'adresser à un membre d'une école ou d'une faculté universitaire.
Son Excellence : Utilisé
pour s'adresser aux ambassadeurs de gouvernements étrangers.
L'honorable : Utilisé
pour s'adresser aux ambassadeurs américains avec des juges et des juges
américains.
Son Altesse Royale :
Utilisé pour s'adresser aux membres d'une famille royale, y compris les princes
et princesses britanniques.
Médecin : Utilisé pour
s'adresser à un médecin qui a obtenu un diplôme en médecine ou à une personne
titulaire d'un doctorat.
Capitaine : utilisé pour
s'adresser aux commandants navals américains quel que soit leur rang; tout officier qui a été chargé d'un navire peut être
adressé de cette manière.
Sa Sainteté : Utilisé
pour s'adresser à la fois au Pape de l'Église catholique et au Dalaï Lama.
Les termes d’adresse
possèdent une fonction identificatoire (elle permet de désigner
l’interlocuteur), une fonction catégorielle (elle permet de catégoriser
l’interlocuteur grâce au métier ou à la fonction exercée) ainsi qu’une fonction
valorisante qui permet de mettre en valeur l’autre, à l’exception des termes
injurieux ou insultants.
L'original Koine grec, selon le Textus Receptus :
καὶ ἀπεκρίθη ὁ Θωμᾶς, καὶ εἶπεν αὐτῷ,
Ὁ Κύριός μου καὶ ὁ Θεός μου
Mon Seigneur au vocatif : Κύριε |
Mon Seigneur au nominatif : Κύριός |
Mon Dieu au vocatif : θεέ |
Mon Dieu au nominatif : Θεός |
En effet, la réponse de Jésus ne change pas en envergure et ne
confirme pas sa divinité mais seulement que St Thomas croit en sa résurrection
et que l’objectif de croire en sa résurrection était atteint, Jésus n’a pas dit
tu es heureux Thomas car tu crois que je suis Dieu et de plus ce n’était pas
l’objectif de ce passage Biblique.
Méfier vous des dérives Trinitaires car elles sont infames en
définitives car elles ne se base sur rien de logique à la base.
Les translittérations trinitaires de
l’Évangile de JEAN
Jean
1 :18 – « Fils unique » ou « Dieu unique » ?
Attention à la traduction de
vos Bible car elle peut être une falsification, nous sommes retournés au texte
à la source pour vérifier s’il y avait bien le mot Dieu dans ce verset, voici
notre déduction :
Jean
1 :18 Θεὸν
οὐδεὶς ἑώρακεν πώποτε· ὁ μονογενὴς υἱὸς ὁ ὢν εἰς τὸν
κόλπον τοῦ πατρὸς
ἐκεῖνος ἐξηγήσατο.
Jean
1 :18 Personne n'a jamais vu Dieu;
le Fils unique (monogenes), qui est dans le
sein du Père, est celui qui l'a fait connaître.
Les
termes μονογενὴς
υἱός signifient « fils
unique » en référence au terme grec MONOGENES dans ce texte GREC, mais les
trinitaires essaient de manipuler la traduction pour soutenir le dogme
trinitaire et le déforme en par monogenes theos, en effet, dans le texte à la source, vérification
faites et certaine, il n’y a pas théos mais huios (en grec υἱός) :
μονογενὴς υἱός = soit monogenes huios en grec et
pas monogenes theos.
Pour
une bonne compréhension voici l'explication du mot grec monogène :
Les témoins de Jéhovah ont
tout faux eux aussi, en effet, ils traduisent par
« unique-engendré ».
La deuxième partie du mot
(gêné) ne vient pas de génnaô (engendré), mais de génos (genre), et que par conséquent ce terme désigne
seulement l'unique représentant d'une catégorie ou d'un genre.
Ce mot se compose de deux
mots, soit " monos " qui veut dire " un " et
" genos " qui veut dire le seul
en son genre. Il n'y a donc pas de référence au mot engendré, c'est évident,
mais d'autre part, remarquer bien encore ici, Jésus n'est pas Dieu lui-même
mais son fils unique selon cette terminologie employée dans l'évangile de Jean.